- Cette aventure est inspirée des manches d’évacuation utilisées par les pompiers lors des incendies dans les immeubles de plusieurs étages.
- Pour les besoins de l'aventure, la toute première vraie passerelle technique est créée sur la terrasse du fort. Fixée sur le parapet, elle déborde au-dessus du vide à l'extérieur du fort. Elle sera ensuite régulièrement modifiée les saisons suivantes pour accueillir de nouvelles aventures (Escalier inutile en 1997 ou les Planches en 2004-2005), tout en servant pour sécuriser le candidat lors de l'aventure de la Varappe et de point d'observation pour filmer le Saut de l'ange dès 1996.
- Toujours pour les besoins de l'aventure, une grande estrade métallique est mise en place sur l'escalier à la mer au pied de la chaussette en tissu. Elle permet d'accueillir les candidats, mais surtout elle dispose d'une partie grillagée, qui laisse passer les Boyards que les candidats pourraient faire tomber. La grille empêchent de les récupérer.
- C'est la seule aventure qui est "installée" par l'animateur du jeu (en l'occurrence Patrice LAFFONT). À l'arrivée des candidats sur la terrasse, il ouvre une première trappe puis en donnant un coup de pied sur la chaussette enroulée, il déclenche ainsi l'ouverture d'une seconde et double-trappe sous la passerelle technique. La chaussette se déroule ainsi toute seule jusqu'au rez-de-chaussée.
- Dans l'émission 1 du 8 juillet 1995 (premier enregistrement de l'aventure), les candidats ont quelques difficultés pour descendre à une vitesse normale, ils restent parfois bloquer quelques secondes dans la chaussette. Pour corriger ce problème, lors des deux autres apparitions de l'aventure, tous les candidats enfilent des coupe-vents pour réaliser la descente de l'aventure. Premièrement, pour empêcher les brûlures du frottement du tissus sur la peau, deuxièmement parce que le revêtement en plastique du coupe-vent permet de faire glisser plus facilement dans la chaussette en tissu.
- Les mesures de sécurité pour la réalisation de cette aventure sont très importantes, puisqu'il s'agit d'une aventure "aérienne" sans sécurisation physique des individus. Le candidat doit respecter les consignes de descente, notamment en restant droit et en levant les deux bras vers le haut, pour pouvoir les écarter légèrement pour freiner si besoin. En bas de l'aventure, Antoine MARÇON (responsable des jeux aériens), enroule à chaque fois la chaussette, presque en faisant un nœud, pour amortir la fin de la descente du candidat et éviter qu'il arrive trop vite sur le sol.
Toutes ces consignes n'ont pas empêché un accident dans la version suédoise de Fort Boyard, où une candidate n'a pas bien maîtrisé sa descente. Elle se fracture la cheville lors de la réception (anecdote du libre Les secrets de Fort Boyard de Jean-Pierre MITRECEY). C'est probablement pour cette raison que l'aventure a rapidement été condamnée.